Vivre : le compte à rebours

Livre

Sansal, Boualem. Auteur

Edité par Gallimard - 2024

Paolo, un professeur de mathématiques, fait partie des Appelés, un groupe d'humains choisis par une puissance mystérieuse. Ce dernier leur indique la disparition de la Terre d'ici 780 jours. Paolo se met en quête des siens et doit choisir les humains dignes de monter à bord du vaisseau spatial qui emmènera une minorité d'élus sur une autre planète, mais la mission s'annonce pleine d'obstacles.

Voir la collection «Blanche»

Autres documents dans la collection «Blanche»

Classification
Romans
2 exemplaires disponibles

Plus d'infos

Se procurer le document

Pour réserver un exemplaire, il est nécessaire d'être authentifié. Les réservations dépendent de votre abonnement en cours.

Musique audio - 2015 - Past present

Disponible à Médiathèque de Bourgoin-Jallieu

Discothèque | 1.3 SCO 44 | Disque compact | En rayon

Disponible à Médiathèque de Villefontaine

Adulte | 1.344 SCO | Disque compact | En rayon

Suggestions

Du même auteur

Le Serment des barbares | Sansal, Boualem. Auteur

Le Serment des barbares

Livre | Sansal, Boualem. Auteur | 1999

L' Enfant fou de l'arbre creux | Sansal, Boualem. Auteur

L' Enfant fou de l'arbre creux

Livre | Sansal, Boualem. Auteur | 2000

2084 [deux mille quatre-vingt quatre] la fin du monde | Sansal, Boualem. Auteur

2084 [deux mille quatre-vingt quatre] la fin ...

Livre | Sansal, Boualem. Auteur | 2015

En Abistan, le peuple est soumis à un Dieu unique et vit dans la foi sans se poser de questions, sous le joug d'un système de surveillance qui contrôle les idées et les actes déviants et s'emploie à éradiquer toute pensée personne...

Ceux qui ont emprunté ont aussi emprunté

Avec les fées | Tesson, Sylvain. Auteur

Avec les fées

Livre | Tesson, Sylvain. Auteur | 2024

Les yeux de l'homme moderne ne captent plus de fantasmagories. Il y a une façon d'attraper le monde et d'y déceler le miracle de l'immémorial et de la perfection. Le reflet revenu du soleil sur la mer, le froissement du vent dans...

Leurs enfants après eux | Mathieu, Nicolas. Auteur

Leurs enfants après eux

Livre | Mathieu, Nicolas. Auteur | 2018

En août 1992, dans une vallée perdue de l'est de la France, deux adolescents trompent l'ennui d'une journée de canicule en volant un canoë pour aller voir ce qui se passe de l'autre côté du lac, sur la plage naturiste. Pour Anthon...

En savoir plus

Biographie

John Scofield, né le 26 décembre 1951 à Dayton (Ohio), est un guitariste de jazz et compositeur américain. Il passe son enfance dans le Connecticut, où il débute la guitare à l'âge de 11 ans. Grâce à l'aide d'un professeur de guitare, il est vite initié à Pat Martino, Jim Hall et Wes Montgomery. Mais, ce qui deviendra son style, le jazz-rock n'en est qu'à ses balbutiements, alors même que John vient d'atteindre sa majorité. Passionné par la guitare, doué de surcroît, on le retrouve (logiquement), quelques années plus tard, sur les bancs de la Berklee College of Music (1970-1973). Scofield fait alors ses armes sous l'aile de jazzmen reconnus tels que Gerry Mulligan et Chet Baker. Avec ces deux derniers, il enregistre d’ailleurs un live au Carnegie Hall. Mais, comme il aime le faire remarquer, Scofield a vraiment débuté sa carrière au sein du groupe de Billy Cobham et George Duke. C'est le vrai commencement du jazz-rock : où des amateurs de rock viennent voir des jazzmen en concert ! Chose inouïe à l’époque. Après deux ans de bons et loyaux services, le groupe se sépare. Scofield reste à New York. Il se découvre alors un intéręt pour la guitare acoustique. En 1977, il enregistre avec Charles Mingus, avant de rejoindre le "Gary Burton quartet" puis le "Dave Liebman's quintet". Mais c'est Miles Davis qui va vraiment le propulser. À partir de 1982, poussé par la fibre du funky jazz, John accompagnera le maître pendant trois années, en studio et sur scène à travers le monde. Toujours avide de découvertes, il quitte Miles pour rejoindre Dennis Chambers (batteur) et Gary Grainger (bassiste) pour développer davantage la fusion jazz-funk, jusqu’à un revirement en 1989. John signe chez Blue Note Records et part à l'exploration du swing. Il retrouve alors son camarade de classe de la Berklee, le saxophoniste Joe Lovano. Ils enregistreront trois albums, les plus jazz de sa carrière, selon Scofield. John travaillera aussi avec Charlie Haden et Jack DeJohnette, pour ne citer qu’eux. L'artiste évolue ensuite vers un jazz teinté de soul et de "New Orleans spirit", sous l'influence d'Eddie Harris, en vogue dans les années 60. Enfin et surtout, il accompagne la crème de la guitare jazz des années 90: Pat Metheny (I Can See You House From Here, 1994) et Bill Frisell. En 1995, Scofield passe sur le label Verve Records. Sa liberté d'esprit et son ouverture musicale le poussent à chaque fois à jouer avec de nouvelles personnes et à fusionner d'autres genres au jazz pour essayer de se renouveler. Ce n'est donc pas un hasard si, tout au long de sa carrière, il a pu côtoyer les meilleurs jazzmen dont Chick Corea, Herbie Hancock, Billy Cobham, Jim Hall, et plus récemment Medeski Martin and Wood (un album commun est sorti en 2006). Pourtant, l'homme n'est pas qu'un simple fan de jazz. Il cite ses sources dans le blues "classique" (Albert King), mais aussi dans le rock des années 2000 (Tom Morello)... Éclectique et ouvert d'esprit, tel est Scofield : un guitariste qui a su se forger son style à force d’improvisation jazz et de fusion avec le rock, le funk ou la soul. Scofield a assez peu porté son attention sur sa technique instrumentale. Bien sûr, il demeure un guitariste remarquable, mais sa technique instrumentale pourrait l'handicaper lors de certains chorus, ce dont il a d'ailleurs fait part lors de masters classes[réf. nécessaire]. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

Artistes similaires